M.D.
Médecin clinicien enseignant et professeur titulaire
Faculté de médecine
Département de médecine
Le Dr Frédéric Barabé est professeur titulaire au Département de médecine de la Faculté de médecine de l’Université Laval. Dr Barabé est hématologue de formation, ayant accompli son stage postdoctoral à l’Université de Toronto. Il est de fait spécialisé en onco-hématologie et débute sa carrière comme chercheur senior au CRI. Le Dr Barabé a 10 articles publiés au niveau international (dont quelques-uns dans Science et autres revues de haut facteur d’impact) et autant de conférences données à divers congrès. Ses projets de recherche actuels portent principalement sur le rôle et la biologie des gènes de fusion MLL dans la pathologie des leucémies aiguës humaines. Il étudie également les cellules souches hématopoïétiques.
0000-0003-0024-3611
Centre de recherche en infectiologie de l’Université Laval
2705, boul. Laurier
Québec (Québec), Canada, G1V 4G2
Ph.D.
Professeure associée
Faculté de médecine, Université Laval
Département de microbiologie-infectiologie et d'immunologie
La Dre Mariana Baz est Chercheure scientifique senior et Chef de la Division de Sensibilité aux antiviraux du Centre collaborateur de l’Organisation mondiale de la santé pour la référence et la recherche sur l’influenza au Doherty Institute de Melbourne, en Australie. La Dre Baz occupe également un poste de chercheure indépendante au Centre de recherche du CHU de Québec, un poste de professeure associée à la Faculté de médecine l’Université Laval et elle est directrice associée et chef du nouveau laboratoire de confinement d’aérosols de niveau 3 au Centre de recherche en infectiologie de l’Université Laval. La Dre Baz est une virologue avec plus de 15 ans d’expérience dans l’étude de la pathogenèse, les thérapies antivirales et le développement de vaccins contre les virus respiratoires. Elle a suivi sa formation en Uruguay (baccalauréat en biochimie), au Canada (maîtrise et doctorat) et aux États-Unis (stage postdoctoral). Ses recherches sont actuellement axées sur le développement de nouvelles thérapies contre la grippe saisonnière et pandémique ainsi que la COVID-19 dans les populations à risque en utilisant des modèles animaux. Dre Baz a reçu plusieurs prix nationaux et internationaux, dont le « Fellows Award for Research Excellence » du NIH (2014) et le « Vaccine and Edward Jenner Vaccine Society Young Investigator Program » (2015). Elle a publié plus de 45 articles scientifiques dans des revues à fort impact telles que NEJM, Lancet ID, J Am Chem Soc, PLoS Path, Clin Infect Dis, mBio, J of Virol, etc.
0000-0002-1230-0735
Centre de recherche en infectiologie de l’Université Laval
2705, boul. Laurier, RC-0709
Québec (Québec), Canada, G1V 4G2
Ph.D., Chimiste, OCQ
Professeur titulaire
Faculté de pharmacie
Le Dr Biron s’est joint à la Faculté de pharmacie de l’Université Laval en 2008 après l’obtention d’un doctorat en chimie de l’Université Laval et un stage postdoctoral en chimie pharmaceutique au Technische Universität München en Allemagne. Chercheur au Centre de recherche du CHU de Québec-Université Laval, le Dr Biron est également membre de l’Institut sur la nutrition et les aliments fonctionnels (INAF), du Laboratoire international associé en bioproduction d’antimicrobiens naturels (LIAAN) et du regroupement PROTEO.
Visant la découverte et le développement de nouveaux agents antimicrobiens à base de peptides et de produits naturels, le programme de recherche du Dr Biron s’articule autour de trois axes : 1) le développement d’approches de synthèse pour la production de peptides antimicrobiens et de molécules bioactives biosourcées; 2) l’utilisation du peptidomimétisme pour l’optimisation pharmacologique de peptides antimicrobiens; 3) la conception et l’étude d’agents antimicrobiens conjugués et hybrides.
Les molécules développées dans le laboratoire du Dr Biron ciblent les infections bactériennes, fongiques et parasitaires pour des applications dans les secteurs agroalimentaire, vétérinaire et médical. Les travaux de son équipe ont récemment mené au développement de voies de synthèse pour plusieurs bactériocines et leurs analogues avec des propriétés pharmacologiques et stabilités améliorées. Son laboratoire a entre-autre développé en collaboration avec l’équipe du Dr Ismail Fliss un analogue amélioré de la pédiocine PA-1 qui est maintenant approuvée par Santé Canada comme agent technologique antimicrobien alimentaire et produit commercialement.
0000-0002-8030-6741
2705, boul. Laurier, T4-50
Québec (Québec), Canada,
G1V 4G2
Ph.D.
Professeur titulaire
Faculté de médecine, Université Laval
Département de microbiologie-infectiologie et d'immunologie
Le Dr Éric Boilard est Professeur Titulaire à la Faculté de Médecine, ainsi que co-fondateur et co-directeur du Centre de Recherche ARThrite de l’Université Laval. Il a obtenu son doctorat en Microbiologie et immunologie à l’Université Laval (2003) et a ensuite suivi des formations postdoctorales à l’Université de Nice-Sophia-Antipolis (2003-2006) ainsi qu’à l’Université Harvard (2006-2010). C’est lors de ses études à Harvard que le Dr Boilard a mis en lumière le rôle des plaquettes dans la polyarthrite rhumatoïde (Boilard et al. Science 2010).
Ses travaux visent à mieux comprendre la pathogénèse des maladies rhumatismales et infectieuses et à améliorer le développement de nouvelles thérapeutiques par le biais de biomarqueurs. Il étudie comment les plaquettes et les cellules qui les produisent, appelées mégacaryocytes, contribuent aux réactions inflammatoires en place dans la polyarthrite rhumatoïde, le lupus, ainsi que lors d’infections microbiennes. Il s’intéresse notamment aux vésicules extracellulaires produites par ces cellules et il mène ses recherches cliniques en collaboration avec des patients et en utilisant des modèles murins de maladies.
Il est lauréat de nombreux prix parmi lesquels figurent le prix André Dupont, décerné au jeune chercheur québécois le plus prolifique en recherche clinique, et le Prix Cozzarelli, attribué par la National Academy of Sciences (États-Unis) en reconnaissance de l’excellence et de l’originalité de ses travaux.
0000-0001-6319-6432
2705, boulevard Laurier
T1-49
Québec, Québec
Canada G1V 4G2
M.D
Professeur titulaire
Faculté de médecine, Université Laval
Département de pédiatrie
Le Dr Guy Boivin est professeur titulaire au Département de pédiatrie de la Faculté de médecine de l’Université Laval. Il est détenteur de la Chaire de recherche canadienne sur les virus en émergence et la résistance aux antiviraux. Il a effectué ses études postdoctorales à l’Université du Minnesota. Le Dr Boivin est auteur ou co-auteur de plus de 160 publications scientifiques et de 206 présentations à divers congrès et symposiums internationaux. Son programme de recherche porte sur le diagnostic, la pathogénèse et le traitement des infections virales. Il étudie notamment les virus herpétiques et les virus respiratoires incluant ceux causant la grippe (dont la grippe aviaire). Il utilise des technologies de biologie cellulaire et moléculaire ainsi que différents modèles animaux pour développer des tests diagnostiques rapides, évaluer de nouvelles molécules antivirales et élucider les mécanismes de résistance aux agents antiviraux. Il a élaboré plusieurs études multicentriques pour évaluer l’impact clinique et épidémiologique de nouveaux virus respiratoires en émergence. Il collabore avec des groupes de recherche fondamentale et clinique de l’Université McGill, de l’Université de Toronto et du Center for Disease Control (CDC) d’Atlanta. Les recherches du Dr Boivin sont soutenues par les IRSC et des sociétés pharmaceutiques. Ses travaux auront un impact significatif sur le diagnostic et la thérapie des infections virales menaçantes. Plus récemment, il a mené à bien le projet du nouveau laboratoire de niveau 3 qui a été inauguré en 2020 et dont il a la charge.
0000-0003-3027-4662
Centre de recherche en infectiologie de l’Université Laval
2705, boul. Laurier, RC-0709
Québec (Québec), Canada, G1V 4G2
Ph.D.
Professeur titulaire
Faculté de médecine, Université Laval
Département de médecine moléculaire
Le Dr Jacques Corbeil se focalise sur l’utilisation des dernières techniques de bio-informatique et d’apprentissage automatique pour faciliter le diagnostic, le pronostic et la réponse aux traitements. Les recherches visent à classer et à prédire l’évolution des maladies. Les techniques modernes de génomique et de métabolomique génèrent un déluge de données qui doivent être interprétées à l’aide de nouvelles approches d’intelligence artificielle. Le Dr Corbeil utilise des instruments et des méthodologies de pointe pour faciliter l’interprétation de données complexes. Les recherches du Dr Corbeil portent notamment sur la façon dont les microorganismes infectieux interagissent avec leur hôte, sur les effets des antibiotiques sur notre flore microbienne, sur la conception de petites molécules et de médicaments destinés à interférer avec des fonctions microbiennes spécifiques, ainsi que sur l’intégration des données omiques dans la recherche sur le cancer. Le Dr Corbeil travaille à l’interface de l’informatique et des sciences omiques. Il est spécialisé dans la recherche sur le microbiome, la découverte de biomarqueurs métabolomiques et l’analyse de données massives. Le Dr Corbeil a également de nombreux projets portant sur les microbiomes environnementaux et les processus industriels. Il a créé le Centre de recherche sur les données massives à l’Université Laval avec son collègue François Laviolette. Depuis 2004 et jusqu’en 2025, le Dr Corbeil est titulaire de la Chaire de recherche du Canada en génomique médicale (niveau 1). Pour plus d’ information voir http://corbeillab.genome.ulaval.ca
0000-0002-9973-2740
Centre de recherche en infectiologie de l’Université Laval
2705, boul. Laurier, RC-0709
Québec (Québec), Canada, G1V 4G2
Ph.D.
Professeure agrégée
Faculté des Sciences sociales , Université Laval
Département d’anthropologie
Ève Dubé est professeure au département d’anthropologie de l’Université Laval, à Québec (QC), Canada et chercheuse au Centre de recherche du CHU de Québec-Université Laval. Son champ d’expertise est l’anthropologie de la santé publique. Elle s’intéresse particulièrement aux dimensions sociales, culturelles, religieuses et historiques de la prévention des maladies infectieuses. Elle est titulaire de la Chaire de recherche en santé publique appliquée des IRSC sur l’anthropologie des enjeux de la vaccination, INSPQ-ULaval. Elle dirige le réseau en sciences humaines et sociales du Canadian Immunization Research Network et est la co-directrice scientifique du Bridge Research Consortium.
0000-0003-1336-1510
Pavillon Charles-De Koninck
1030 Avenue des Sciences Humaines, bureau 3433
Québec (Québec) G1V 0A6
Ph.D.
Professeur titulaire
Faculté de médecine, Université Laval
Département de microbiologie-infectiologie et d'immunologie
Le Dr Estaquier est Professeur titulaire à la Faculté de médecine de l’Université Laval depuis 2011. Il est détenteur d’un PhD en immunologie obtenu en 1994 à l’Université des Sciences et Technologies de Lille et intègre en 1996 l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) et devient directeur de recherche en 2004 en Immunologie des maladies infectieuses puis. Le Dr Estaquier est auteur ou co-auteur de plus de 175 publications et revues scientifiques ainsi qu’une quinzaine de chapitres de livres. Son programme de recherche porte sur l’étude de la réponse immunologique en relation avec la mort cellulaire dans les interactions hôtes-pathogènes. En effet, la mort cellulaire programmée, dont un des phénotypes majeurs est l’apoptose, joue un rôle prépondérant dans la persistance ou l’élimination des agents infectieux. Ces études s‘inscrivent dans le cadre d’un partenariat avec l’INSERM (U1124). Il étudie notamment les agents pathogènes intracellulaires comme le virus du Sida, ou le parasite responsable de la leishmaniose. Par ailleurs, ses travaux ont contribué à une meilleure compréhension de l’infection par le virus SARS-CoV-2, et ses conséquences sur le développement de la COVID longue.
0000-0002-9432-8044
Centre de recherche en infectiologie de l’Université Laval
2705, boul. Laurier, RC-0709
Québec (Québec), Canada, G1V 4G2
Ph.D. , MBA
Professeur titulaire
Faculté de médecine, Université Laval
Département de microbiologie-infectiologie et d'immunologie
Le Dr Louis Flamand est professeur titulaire et directeur du département de microbiologie-infectiologie et immunologie à la Faculté de médecine de l’Université Laval, et chercheur senior de l’axe des maladies infectieuses et immunitaires du Centre de recherche du CHU de Québec. Avant de joindre les rangs de l’Université Laval, le Dr Flamand a obtenu un doctorat de l’Université de Montréal, et a effectué une formation postdoctorale aux Instituts nationaux de santé (NIH) et à l’institut de virologie humaine (Maryland, États-Unis). Le Dr Flamand a obtenu son MBA en gestion pharmaceutique de l’Université Laval. Durant 10 ans, il a été président du comité des risques pour les risques biologiques à l’Université Laval. Il est membre du comité scientifique consultatif de la Fondation HHV-6, depuis 2006. Le Dr Flamand possède également une expérience dans le développement préclinique. Tout au long de sa carrière, le Dr Flamand a reçu plusieurs reconnaissances provinciales et nationales, et un soutien financier continu d’organismes subventionnaires pour son travail en virologie. Le Dr Flamand est l’auteur de plus de 100 publications évaluées par des pairs, et est l’éditeur principal du livre « Human Herpesviruses HHV-6A, HHV-6B & HHV-7: Diagnosis and Clinical Management 3ème édition ».
0000-0001-5010-4586
2705, boulevard Laurier, Bureau T1-64
Québec, (Québec) Canada, G1V 4G2
Ph.D.
Professeure agrégée
Faculté de médecine, Université Laval
Département de biologie moléculaire, biochimie médicale et pathologie
Amélie Fradet-Turcotte est professeure agrégée à l’Université Laval et chercheuse au Centre de recherche du CHU de Québec depuis 2015. Amélie a fait ses études postdoctorales à l’Institut de recherche Lunenfeld-Tanenbaum à Toronto, et elle est titulaire d’un doctorat en biochimie de l’Université de Montréal. Pendant son doctorat dans le laboratoire de Jacques Archambault à l’Institut de Recherches Clinique de Montréal (IRCM), elle a étudié comment la réplication des virus oncogènes a un impact sur les processus biologiques de la cellule hôte. Elle a ensuite approfondi son intérêt envers le rôle du stress externe sur le comportement cellulaire en rejoignant l’équipe de Daniel Durocher à Toronto. Elle y a élucidé les mécanismes moléculaires qui sont au cœur de la réparation des cassures de l’ADN, un processus essentiel au maintien de la stabilité génomique des cellules. En tant que titulaire de la Chaire de recherche du Canada en virologie moléculaire et instabilité génomique, ses intérêts de recherche visent à comprendre la régulation des processus moléculaires qui protègent notre matériel génétique dans les cellules infectées ainsi que les conséquences de leur dérégulation sur le développement du cancer. Pour plus d’information, consultez la page web de son laboratoire.
0000-0002-5431-8650
Hôtel-Dieu de Québec
9 Rue McMahon
Québec, Québec
Canada G1R 2J6
Ph.D.
Professeur titulaire, Directeur de département
Faculté des Sciences de l'agriculture et de l'alimentation, Université Laval
Département des sciences des aliments
Dr Fliss est professeur titulaire et directeur du département des sciences des aliments de l’Université Laval. Il a été titulaire d’une Chaire industrielle du CRSNG sur les activités métaboliques et la fonctionnalité des cultures lactiques bioprotectrices. Il co-dirige présentement un projet international subventionné par le Centre de recherches pour le développement international et le Department of Health and Social Care du Royaume-Uni visant l’utilisation de bactériocines comme alternatives aux antibiotiques en production avicole (1,8 M$). Il est également directeur scientifique du Laboratoire International Associé en bioproduction d’Antimicrobiens Naturels.
Vétérinaire de formation, Dr Fliss est reconnu mondialement pour ses travaux relatifs à l’identification, la purification et l’exploitation des bactériocines de bactéries lactiques, comme nouvelle génération d’antimicrobiens naturels pour les secteurs alimentaire, médical et vétérinaire. Il a publié plus de 230 articles scientifiques dans des revus très prestigieuses avec comité de lecture, 10 chapitres de livres et détient 7 brevets d’invention qui ont conduit à plusieurs transferts technologiques. Il a développé une base de données (Bactibase) sur les bactériocines et a proposé une nouvelle classification de ces molécules antimicrobiennes d’origine naturelle.
Pavillon Paul-Comtois
2425, rue de l’Agriculture, Local 1413
Québec, QC, Canada, G1V0A6
Ph.D., ing.
Professeur titulaire
Faculté des sciences et de génie
Département génie chimique
Bruno Gaillet est professeur au département de génie chimique de l’Université Laval. Son groupe de recherche conçoit et construit des vecteurs viraux et leurs dérivés, y compris des particules pseudo-virales pour transférer des gènes, de l’ARN et des protéines à des fins thérapeutiques et de production de vaccins, ainsi que des méthodes pour produire et purifier ces particules en grande quantité et à faible coût. Il développe également de performants systèmes d’expression de protéines recombinantes en utilisant des vecteurs non viraux et viraux optimisés et des lignées cellulaires de mammifères et des hôtes microbiens. Récemment, il a mis au point 1) une approche de thérapie génique pour les infections par le virus Ebola basée sur des vecteurs adéno-associés produits à partir d’un processus modulable adapté aux Bonnes Pratiques de Fabrication actuelles, 2) un procédé de fabrication étayé par des méthodes analytiques de candidats vaccins contre le VIH utilisant un vecteur recombinant du virus de la stomatite vésiculaire, 3) de nouvelles particules et leur procédé de fabrication associé basées sur des composants du VSV et du VIH-1 pour l’administration d’acides nucléiques et de protéines.
0000-0002-9903-0116
Pavillon Adrien Pouliot
1065, Avenue de la médecine, local PLT-3550
Québec (Québec) G1V 0A6
Ph.D.
Professeur agrégé
Faculté des sciences et de génie, Université Laval
Département de chimie
Les projets de recherche du Dr. Giguère sont orientés vers la synthèse chimique organique dans les domaines de la reconnaissance biologique des saccharides synthétiques, la préparation de molécules naturelles biologiquement actives et le développement de nouvelles méthodologies de synthèse. Son groupe de recherche est dédié à l’éducation et la formation de scientifiques dans les domaines des sciences chimiques en connexion avec la biologie et la médecine.
0000-0003-2209-1428
Pavillon Alexandre-Vachon
1045, av. de la Médecine, local 1417
Québec (Québec), Canada, G1V 0A6
Ph.D.
Professeure titulaire
Faculté de médecine, Université Laval
Département de microbiologie-infectiologie et d'immunologie
En plus d’être chercheure régulière au Centre de recherche du CHU de Québec-Université Laval, et professeure agrégée au département de microbiologie-infectiologie et d’immunologie de la Faculté de médecine de l’Université Laval, la Dre Gilbert est directrice du programme de 2e et 3e cycles de microbiologie-immunologie de l’Université Laval, ainsi que membre régulière du Centre de recherche en infectiologie depuis 2021. La Dre Gilbert poursuit deux axes de recherche : l’étude du rôle des vésicules extracellulaires (VE), incluant les exosomes et celui de la lectine DCIR (Dendritic Cell Immunoreceptor) dans les premières étapes de l’infection au virus de l’immunodéficience humaine de type-1 (VIH-1) et des dérèglements de la réponse immunitaire chez les patients infectés. De ces études, trois brevets ont été obtenus et la valorisation de ces découvertes se poursuit dans son laboratoire.
0000-0003-2722-1180
CHUL
2705, boulevard Laurier, Bureau T-1-49
Québec (Québec), Canada, G1V 4G2
(418) 525-4444, poste: 46107, (418) 654-2765
Ph.D.
Professeure adjointe
Faculté de sciences et de génie, Université Laval
Département de biochimie, de microbiologie et de bio-informatique
Dre Sophie Gobeil a effectué un doctorat en biochimie, sous la supervision de Joelle Pelletier, à l’Université de Montréal. Ses travaux de recherche caractérisaient le rôle fonctionnel et évolutif de la dynamique conformationnelle des bêta-lactamases, protéines de résistance bactérienne aux antibiotiques. Par la suite, elle s’est jointe à titre de chercheuse boursière postdoctorale du CRSNG à l’équipe de Leonard D. Spicer, un spécialiste de la résonnance magnétique nucléaire (RMN) des protéines, au sein du Département de biochimie de l’Université Duke. Ses travaux, par l’application de méthodologies de biologie structurale et biophysique, visaient à développer des composés antifongiques plus sélectifs envers une cible fongique plutôt que la protéine analogue humaine. Durant cette période, elle a aussi complété le programme « Duke Scholar in Molecular Medicine » où elle y a acquis une connaissance de l’aspect clinique de la recherche sur les maladies infectieuses.
En mars 2020, face à la pandémie de COVID-19, Sophie Gobeil a joint l’équipe de Priyamvada Acharya au sein de la division de biologie structurale du Duke Human Vaccine Institute (DHVI). Durant ce second stage postdoctoral, elle a caractérisé, par l’utilisation de la microscopie électronique cryogénique (Cryo-EM), les effets structurels et antigéniques des mutations dans les spicules des variants du SRAS-CoV-2. Ses travaux publiés dans des revues prestigieuses incluant Science, Science Translational Medicine et Nature, ont eu un impact direct pour le développement de vaccins, et ont été parmi les premiers à proposer des mécanismes moléculaires expliquant les impacts des mutations du virus.
Sophie Gobeil est maintenant titulaire d’une chaire de recherche du Canada en biologie structurale des systèmes et son laboratoire s’intéressera au rôle de la dynamique conformationnelle des protéines virales d’entrée dans la formation d’interface d’interaction protéine-protéine.
0000-0002-0057-2477
Pavillon Charles-Eugène-Marchand
1030 Av. de la Médecine, local 3261
Québec, QC, Canada
G1V 0A6
M.D., Ph.D., FRCPC
Médecin clinicienne enseignante sous octroi adjointe
Faculté de médecine, Université Laval
Département de pédiatrie
La Dre Sandra Isabel s’est jointe au Département de pédiatrie de la Faculté de médecine de l’Université Laval à l’automne 2023. Elle a obtenu en parallèle un MD/PhD en (microbiologie-immunologie) de l’Université Laval pour ses travaux de recherche sur la détection moléculaire d’agents bactériens aéroportés associés au bioterrorisme. Durant ses trois résidences à l’Université de Toronto en pédiatrie, infectiologie et microbiologie médicale, elle a publié 12 articles sur des sujets tels que les infections émergentes et la génomique microbienne. Elle a été l’une des premières à découvrir la première mutation clé de la protéine spicule du SARS-CoV-2. À l’Université Laval, ses recherches se concentrent sur l’amélioration de la prévention et du diagnostic des infections pédiatriques grâce à des technologies innovantes comme la génomique et l’intelligence artificielle.
0000-0001-7277-4150
Centre de recherche en infectiologie de l’Université Laval
2705, boul. Laurier, RC-0709
Québec (Québec), Canada, G1V 4G2
Ph.D.
Professeure titulaire
Faculté des Sciences de l'agriculture et de l'alimentation, Université Laval
Département des sciences des aliments
0000-0003-2553-4204
Pavillon Paul-Comtois
2425, rue de l’Agriculture
Local 1401
Ph.D.
Professeur titulaire
Faculté de Sciences et génie, Université Laval
Département de biochimie, microbiologie et bio-informatique
Le Dr Landry a obtenu son baccalauréat et sa maîtrise de l’Université Laval (1995-2000). Il a obtenu un doctorat de l’Université Harvard (2001-2006) où il a travaillé sur l’évolution des réseaux d’expression génique. Il a effectué un stage postdoctoral sur l’organisation et l’évolution des réseaux d’interactions protéiques à l’Université de Montréal (2007-2009). Depuis 2009, il est professeur à l’Université Laval et est maintenant titulaire de la Chaire de recherche du Canada des IRSC sur les systèmes cellulaires et la biologie synthétique. Il a été élu dans la cohorte inaugurale du Collège de la Société Royale du Canada, il a reçu le prix commémoratif EWR Steacie du CRSNG pour les chercheurs en début de carrière en 2017 et le prix de mi-carrière de la Society for Molecular Biology and Evolution pour contributions exceptionnelles en 2020. En 2021, il a reçu le Prix d’excellence de l’Université Laval pour l’enseignement et le mentorat auprès d’étudiants diplômés et postdoctoraux. En 2024, il a reçu le prix Canada Gairdner Momentum pour ses contributions exceptionnelles à la recherche scientifique ayant un potentiel continu d’impact sur la santé humaine.
0000-0003-3028-6866
Institut de biologie intégrative et des systèmes
1030 Avenue de la Médecine
Québec, QC G1V 0A6
Ph.D.
Professeur titulaire
Faculté de médecine, Université Laval
Département de microbiologie-infectiologie et d'immunologie
Le Dr Denis Leclerc est professeur titulaire au Département de microbiologie-infectiologie et immunologie de la Faculté de médecine de l’Université Laval. Il a effectué ses études postdoctorales à l’Institut Friedrich Miescher, Bâle, Suisse. Le Dr Denis Leclerc est auteur ou coauteur de plus de 50 publications scientifiques et 44 présentations à divers congrès et symposiums internationaux. Le Dr Leclerc s’intéresse aux aspects structuraux des capsides virales, leur maturation ainsi qu’à l’encapsidation de leur génome. Il travaille avec son équipe sur trois modèles viraux : le virus de l’hépatite C (icosahèdre), le virus de la mosaïque de la papaye (filamenteux) et celui de la mosaïque du chou-fleur. Il utilise les technologies de la biologie moléculaire, l’expression de protéines dans des systèmes bactériens, de levures et de plantes, ainsi que la microscopie électronique et confocale pour élucider les principes moteurs régissant les interactions de ces protéines entre elles et avec les acides nucléiques. Il collabore activement avec le laboratoire du Dr M. Allaire au Brookhaven National Laboratory (New York) et du Dr S. Gagné (U. Laval, Québec) pour déterminer la structure de ces protéines par crystallographie et résonnance magnétique nucléaire. Il développe aussi par ingénierie protéique une stratégie novatrice de vaccination basée sur l’utilisation de capsides virales. Il a démontré que ces capsides déclenchent une réponse immunitaire (cellulaire et humorale) qui persiste plus d’une année après une seule injection vaccinale.
0000-0002-9323-1638
Centre de recherche en infectiologie de l’Université Laval
2705, boul. Laurier, RC-0709
Québec (Québec), Canada, G1V 4G2
PhD, FRSC, FCAHS
Directeur du Centre de recherche en infectiologie, Professeur titulaire
Faculté de médecine, Université Laval
Département de microbiologie-infectiologie et d'immunologie
Le Dr Ouellette a reçu son doctorat sur la résistance aux antibiotiques chez les bactéries de l’Université Laval. Il a fait ses études postdoctorales au Netherlands Cancer Institute, où il a perfectionné ses compétences sur la résistance aux agents antimicrobiens en étudiant les parasites protozoaires. En 1990, il entre en fonction au Centre de recherche en infectiologie de l’Université Laval; il y occupe maintenant le poste de professeur et Directeur et est titulaire d’une Chaire de recherche du Canada en résistance antimicrobienne. La recherche du Dr Ouellette porte sur la génomique de la résistance aux agents antimicrobiens et il a réalisé des découvertes fondamentales sur les mécanismes de résistance chez les parasites protozoaires et les bactéries.
0000-0002-6743-9646
Centre de recherche en infectiologie de l’Université Laval
2705, boul. Laurier, RC-0709
Québec (Québec), Canada, G1V 4G2
Ph.D.
Professeure titulaire
Faculté de médecine, Université Laval
Département de microbiologie-infectiologie et d'immunologie
Dr Barbara Papadopoulou, B.Pharm., Ph.D., est professeur titulaire au Département de microbiologie-infectiologie et immunologie de la Faculté de médecine de l’Université Laval et chercheure rattachée au Centre de Recherche du CHU de Québec dans l’axe maladies infectieuses et immunitaires. Elle a obtenu son doctorat en microbiologie et biologie moléculaire de l’Université Paris XI et l’Institut Pasteur à Paris, France. Elle a par la suite effectué des études postdoctorales en génétique de la levure Saccharomyces cerevisiae à l’Université d’Amsterdam aux Pays-Bas et en parasitologie moléculaire au CHUL/Université Laval. Son domaine d’expertise est les maladies parasitaires, la régulation de l’expression génique, la pathogenèse microbienne, le génomique et la vaccinologie. Ses travaux de recherche portent principalement sur l’étude de la pathogenèse du parasite protozoaire Leishmania et les mécanismes de régulation post-transcriptionnelle de gènes exprimés spécifiquement lors de la différentiation du parasite dans les macrophages infectés. Son groupe s’intéresse également aux mécanismes de signalisation intracellulaire en réponse à divers stress environnementaux ainsi qu’au développement de nouvelles stratégies vaccinales contre la leishmaniose. Dr Papadopoulou est l’auteure de plus de 130 publications scientifiques et de plusieurs chapitres de livres.
0000-0002-6697-9739
Centre de recherche en infectiologie de l’Université Laval
2705, boul. Laurier, RC-0709
Québec (Québec), Canada, G1V 4G2
Ph.D.
Professeur titulaire
Faculté de médecine, Université Laval
Département de microbiologie-infectiologie et d'immunologie
Le Dr Richard est chercheur régulier dans l’axe des Maladies infectieuses et immunitaires du Centre de recherche du CHU de Québec-Université Laval et professeur titulaire au département de microbiologie-infectiologie et d’immunologie de la faculté de médecine de l’Université Laval. Ses travaux portent sur le parasite causant la malaria, une des plus importantes maladies infectieuses à travers le monde avec 300 millions de cas par année, et 500,000 morts. Cette maladie représente donc un des problèmes de santé mondiale les plus dévastateurs. L’absence d’un vaccin, l’émergence de souches résistantes aux thérapies de première ligne combinés avec le faible nombre de nouveaux médicaments contre le parasite de la malaria démontrent le besoin urgent de développer et implanter de nouvelles interventions stratégiques sous la forme de médicaments, de moyens de contrôle du vecteur, et un vaccin efficace.
0000-0003-2269-6240
Centre de recherche en infectiologie de l’Université Laval
2705, boul. Laurier, RC-0709
Québec (Québec), Canada, G1V 4G2
Ph.D.
Professeure titulaire
Faculté de médecine, Université Laval
Département de microbiologie-infectiologie et d'immunologie
La Dre Sachiko Sato est professeure titulaire au Département de microbiologie, immunologie et infectiologie de la Faculté de Médecine de l’Université Laval. Depuis 2003, elle est la directrice de la plateforme de bio-imagerie du Centre de recherche du CHU de Québec-Université Laval, située au CHUL. Après avoir gradué de l’Université de Chiba avec un baccalauréat en pharmacie puis travaillé au Nippon Hoffman-la-Roche Research Centre à Kamakura, au Japon, elle a joint en 1987 le laboratoire du Dr. Akira Kobata, à l’Institut des Sciences Médicales de l’Université de Tokyo, Japon, comme étudiante au doctorat. Elle a simultanément travaillé comme chercheure invitée dans le laboratoire du Dr. R. Colin Hughes, au MRC: National Institute for Medical Research à Londres, Royaume-Uni, où elle a découvert ses premiers intérêts pour une protéine cytosolique liant les ß-galactosides animales, maintenant appelée galectin-3. Elle a ensuite obtenu son doctorat en pharmacologie du Département de biochimie de l’Université Chiba à Tokyo en 1994. Par la suite, elle a poursuivi des études postdoctorales au Department of Biological Sciences, Stanford University, USA, où elle a participé à des travaux sur la fibrose kystique qui ont démontré pour la première fois qu’une maladie génétique pouvait être corrigée à l’aide de composés chimiques. Ce concept a été élaboré comme traitement «correcteur» de la mucoviscidose. Après avoir complété un stage post-doctoral au Centre de recherche en infectiologie de l’Université Laval, elle y devint la chercheure principale du laboratoire de glycobiologie en 1999. Depuis, ses intérêts de recherche ont visé à élucider les rôles des galectines dans les interactions hôtes-pathogènes. Récemment, ses intérêts se sont élargis à l’étude du potentiel thérapeutique des galectines et de la N-acétylglucosamine pour le traitement de la dystrophie musculaire et le développement d’un nouveau système de suivi de lignées unicellulaires.
0000-0002-5960-1703
Centre de recherche en infectiologie de l’Université Laval
2705, boul. Laurier
Québec (Québec), Canada, G1V 4G2
Ph.D.
Professeure titulaire
Faculté de médecine, Université Laval
Département de microbiologie-infectiologie et d'immunologie
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